Pourquoi simuler au lit serait-il un vilain défaut ? Faire (un peu) semblant aurait plus d’avantages que d’inconvénients…
Si les hommes appréhendent la femme qui simule, ce n’est pourtant pas toujours mauvais signe. Une fille qui simule n’est pas en train de s’ennuyer au possible ou de ne rien ressentir. Parfois, même si cet apollon que vous avez ramené chez vous après une soirée bien arrosée est un dieu en la matière, il vous arrive de simuler au lit, sans raison apparente. Nous vous donnons 5 bonnes raisons de continuer à le faire !
Sommaire
1/ Pour booster l’égo de son partenaire
Loin de vous l’idée de vous ennuyer, vous avez juste envie de donner un petit coup de pouce à votre partenaire pour qu’il se surpasse dans ces moments passionnels. Il n’y a pas de mal à ça. Au contraire, les hommes auraient souvent la pression de la performance, et les aider dans ce sens leur permettrait d’être rassurés.
2/ Pour augmenter son plaisir personnel
On vous l’a déjà répété : l’appétit vient en mangeant ! Pour le sexe, c’est pareil. La simulation peut amener à augmenter votre sensualité, et en un rien de temps vous aurez déjà oublié que vous avez bluffé.
3/ Simuler au lit pour le guider
À la manière d’un jeu de piste « chaud-froid », indiquez-lui par la voix qu’il emprunte le bon chemin ; simulez plus fort aux endroits critiques, moins quand vous ne ressentez rien !
4/ Simuler au lit pour masquer certains bruits
Parfois, le silence qui envahit votre chambre lors de vos parties de jambes en l’air peut être légèrement pesant. Si vous voulez briser la glace, vous pouvez masquer ce mutisme ou ces bruits de corps parfois gênants par des cris savamment étudiés (ou pas).
5/ Simuler au lit pour conclure
Il semblerait selon certaines études, qu’on s’ennuierait si l’acte dure plus d’un quart d’heure. En simulant l’orgasme avant l’heure fatidique, non seulement vous parez à cette éventualité, mais en plus vous ne cédez plus jamais à l’ennui. Utile aussi en cas de mauvaise pioche. Cruel, mais efficace.
Simuler au lit n’a rien de honteux, qu’on se le dise !