Le syndrome génital permanent, cette pathologie rare qui touche principalement les femmes, consiste à être excitée sexuellement en permanence. Une étrange maladie que les scientifiques n’arrivent toujours pas à expliquer.
Le syndrome génital permanent, récemment rebaptisé syndrome d’excitation sexuelle permanente, n’est pas de tout repos pour les patientes touchées. Cette maladie rare présente des symptômes étonnants, et peut vite devenir un calvaire au quotidien. Un clitoris sans cesse stimulé, et des sensations proches de celles ressenties juste avant un orgasme. Le hic, c’est qu’un orgasme justement, ne suffit pas à assouvir cette irrépressible envie. Retour sur ce trouble sexuel pas comme les autres.
Une maladie qui défraie la chronique
Du fait des symptômes qu’il présente, le syndrome génital permanent peut ne pas être pris au sérieux. Pourtant, sa récente popularité s’est tristement construite autour d’un événement tragique : le suicide d’une Américaine de 39 ans, qui souffrait de la pathologie depuis ses 16 ans.
L’orgasme ne suffit pas à apaiser l’excitation
Les femmes atteintes du syndrome n’ont pas de répit. La sensation d’excitation lancinante ne se calme qu’occasionnellement, et ne réussit pas à se soulager par un orgasme.
Un cercle vicieux de souffrances psychologiques qu’on peut bien imaginer. D’autant plus que la libido n’a rien à voir là-dedans : aucun désir sexuel volontaire n’entre en jeu.
Des causes mystérieuses
Quelles solutions ?
Malheureusement, quand une maladie est rare, difficile d’établir rapidement un traitement. Aujourd’hui, les scientifiques auraient découvert une molécule capable de soulager l’état des patientes, qui s’avère être le même médicament qui traite le syndrome des jambes sans repos.
Et vous, connaissiez-vous le syndrome génital permanent, cette pathologie féminine rare et taboue ? Partagez-nous votre avis en commentaire de cet article !