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Tampons & serviettes hygiéniques : 7 faits qui donnent envie d’arrêter tout de suite !

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©Nensuria/iStock

Les tampons et serviettes hygiéniques de la grande distribution ne sont pas au-dessus de tout soupçon… Voici quelques faits à leur sujet qui donnent envie de s’en sevrer au plus vite !

Vous n’êtes pas encore passée à la coupe menstruelle ? Vous pourriez bien changer d’avis après avoir lu ce qui suit. Voilà près de dix ans que vous appliquez chaque mois un tampon en coton à l’intérieur de votre vagin sans vous poser de questions ? Peut-être serait-il temps de changer vos habitudes. Voici quelques faits sur les tampons et serviettes hygiéniques qui devraient vous faire rager. Alors, on arrête quand ?

1/ Les tampons à la capacité d’absorption la plus élevée sont les plus dangereux

Quand on dit « dangereux », on veut bien sûr parler du SCT, ce Syndrome du Choc Toxique dont vous avez certainement déjà entendu parler. Selon une étude parue dans Le Monde, les tampons hygiéniques les plus absorbants seraient aussi les plus nocifs pour la flore intime. L’ancienne députée néerlandaise Nels Van Dijk ne cesse de l’affirmer :

Les femmes doivent faire le choix du tampon le moins absorbant en se fiant au nombre de gouttes indiqué sur le paquet. Tant qu’elles n’auront pas compris cela, il y aura un danger.

2/ Les tampons et serviettes hygiéniques sont bourrés de produits chimiques

Ce n’est plus un secret pour personne : les tampons et serviettes hygiéniques issus des supermarchés et même des pharmacies sont bourrés de produits nocifs. De nombreuses études s’accordent à dire qu’ils en contiennent tellement qu’il est impossible d’en faire l’inventaire précis.

Le problème, c’est que les fabricants ne sont pas obligés de les indiquer sur leurs paquets. Un accord qui doit certainement bien les arranger… Si on savait ce qu’ils contenaient, il y a fort à parier pour qu’on les boycotte sur-le-champ. Des traces de dioxines, un des polluants les plus dangereux au monde ont été observées sur plusieurs tampons industriels, ainsi que des dérivés du chlore.

 Il y a tellement de composants chimiques dans les tampons et serviettes hygiéniques qu’il est impossible d’en faire l’inventaire.

Pour blanchir les tampons et serviettes, les fabricants utilisent souvent dioxyde de chlore qui produisent des perturbateurs endocriniens. Et on nous fait mettre ça au font de notre culotte !

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©Triocean/iStock

3/ Les industriels utilisent des produits blanchissants et désinfectants très toxiques, qu’ils n’indiquent pas sur les boîtes

Contrairement aux lois qui régissent l’industrie alimentaire imposant aux fabricants de lister tous les ingrédients, il n’y a pas de règle en matière de tampons et serviettes hygiéniques. Les produits qui servent à blanchir ceux-ci, ou à les colorer (vous n’avez pas pu échapper aux petits cœurs, aux fleurs et autres motifs surimprimés sur vos protège-slips) contiennent en général du chlore.

Si vous ne pouvez pas vous en passer, ou ne vous résolvez pas à tester la cup, choisissez vos protections en magasin bio uniquement.

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©Nensuria/iStock

4/ À cause d’un tampon gardé trop longtemps, une jeune femme s’est vu perdre sa jambe

Lauren Wasser est une mannequin unijambiste. Son accident ? Avoir gardé un tampon absorbant plus de huit heures d’affilée. Ça ne relève pas de l’exception, pourtant. La jeune femme est diagnostiquée atteinte du syndrome du choc toxique (SCT), une infection due aux fibres synthétiques du tampon gardé trop longtemps. Retrouvez son histoire ici.

5/ Les tampons et serviettes sont un grand danger pour l’environnement

Si on vous alerte plus des dangers des protections hygiéniques sur votre santé, il existe aussi des risques (et pas des moindres) pour notre belle planète. Les produits utilisés pour blanchir les tampons et serviettes se retrouvent, une fois jetés, en pleine nature.

Sans compter le nombre de déchets assez énorme que vous générez chaque mois en les jetant à la poubelle. La solution ? La coupe menstruelle ou les protections réutilisables, plus douces pour la flore.

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©Unsplash

6/ Les protections hygiéniques jetables vous coûtent environ 80 euros par an. La coupe menstruelle, elle, 20. Mais vous ne l’achetez qu’une seule fois…

En se basant sur une boîte de Tampax à 4,50 euros environ, et une autre de serviettes pour les jours de crue  à 2,50 euros, on obtient un total de 7 euros par mois. On vous laisse faire le calcul sur les années passées et à venir…

La coupe menstruelle est la meilleure alternative pour récolter le sang de ses règles. Écologique, économique, plus respectueuse de votre flore intime, que demander de plus ? Ah oui, réussir à la placer du premier coup peut-être…

7/ Les tampons peuvent empirer voire générer des règles dites « hémorragiques »

Selon plusieurs témoignages, de nombreuses femmes s’accordent à dire qu’en arrêtant l’utilisation de tampons hygiéniques, elles ont retrouvé des règles moins abondantes. Celles qui sont passées à la cup ou aux protections réutilisables, plus douces pour la flore intime, ont constaté des résultats progressifs. Sans doute encore un lien avec les produits chimiques

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©Koldunova_Anna/iStock

Et vous, continuez-vous à utiliser des tampons et serviettes hygiéniques pour vous protéger du sang de vos règles ? Partagez-nous votre avis en commentaire !