La religion peut aussi être sexy : 3 nonnes pas comme les autres !

Des nonnes qui détonnent ! Voici 3 spécimens décalés qui dédramatisent le fait de rentrer dans les ordres. La religion, le nouveau sexy ?

Imaginez un peu le topo : des religieuses qui cultivent du cannabis en Californie, des nonnes népalaises qui peaufinent leur technique de kung-fu ou encore une femme d’église passionnée par les films d’horreur, invitée comme jury sur les meilleurs festivals. Les nonnes ont la parole, et pas la langue dans leur poche !

Sommaire

1/ Ces nonnes californiennes qui cultivent du cannabis

En Californie, il n’est pas interdit de consommer (et de cultiver) de la marijuana, à condition de posséder une ordonnance. Ces nonnes étonnantes cultivent leur propre cannabis, commercialisé à but médical. Leur but ? En faire des baumes et autres pommades médicinales.

La recette est simple : faire cuire l’herbe séchée à haute température avec de l’huile de coco, ajouter des huiles essentielles et de la cire d’abeille. Des potions magiques bénies des Dieux ? En tout cas, ça rapporte (75 000 euros l’an dernier).

Bon, on ne vous dit pas tout… Ces nonnes rebaptisées Les Sœurs Cannabis, sont en réalité de fausses nonnes anti-capitalistes, mais qui ont décidé de vivre en tant que telles, soutane à la clé. On aurait aimé y croire.

2/ Ces religieuses népalaises qui maîtrisent l’art du kung fu mieux que les hommes

Après avoir vu de quoi elles étaient capables, on craindrait presque de se confesser auprès d’elles ! Ces religieuses bouddhistes d’un couvent népalais ne font pas que se battre à longueur de journée. En plus de peaufiner leurs techniques de combat, elles méditent à l’image des moines bouddhistes.

Une émancipation bienvenue dans un pays qui réserve les arts martiaux aux hommes uniquement. Une vie pieuse des plus banales, à quelque exception près. Au moins, elles sauront riposter en cas d’attaque…

3/ Cette nonne passionnée par les films d’horreur, devenue jury occasionnel

Sœur Rose Pacatte est une nonne pas comme les autres. Son truc à elle, c’est l’épouvante. Les films d’horreur, plus particulièrement. Et elle ne se cache pas de l’affirmer dans le journal The National Catholic Reporter où elle officie en tant que chroniqueuse à ses heures perdues.

Et c’est loin d’être une amatrice : la nonne est régulièrement invitée dans des festivals anglais de renom. L’oeuvre du démon ?